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Le Fantôme de l'Opéra

  • Elem
  • 27 oct.
  • 2 min de lecture

d'après le roman de Gaston Leroux, adapté par Benoît Solès, mise en scène de Julien Alluguette

Théâtre Antoine



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De quoi ça parle ?

Soir de première à l'Opéra Garnier : on joue Faust, une nouvelle œuvre lyrique où le tout Paris vient applaudir la grande diva Carlotta. La représentation toutefois ne se déroulera pas comme prévu, puisque dans l'ombre, le fantôme qui hante les lieux, interviendra pour mettre sur le devant de la scène sa propre protégée, la jeune Christine.


 



Et alors ?


Le roman de Gaston Leroux a déjà donné lieu à de nombreuses adaptations, la plus connue étant la comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber et ses chansons iconiques.

Difficile de ne pas les avoir en tête alors que nous venons découvrir cette toute nouvelle pièce, créée sous la houlette de Benoît Solès


Il nous faut complètement les oublier, car la version proposée ici s'en éloigne à grandes enjambées, pour apporter un œil neuf, simplifié, sur l'histoire et ses protagonistes.


C'est aussi une version plus familiale qui nous est proposée, avec une mise en scène épurée, des thématiques claires autour du triangle amoureux et de la profonde solitude du fantôme, et une durée plus accessible d'1h15.


Le cast rassemble quelques perles de la scène musicale française : Ana Ka (la Carlotta), Fabian Richard (le directeur de l'opéra), ou encore Maélie Zaffran, découverte tout récemment dans Mamma mia!, et qui prête ici sa voix cristalline à Christine Daaé.


Si le spectacle prend le parti d’une narration plus linéaire et d’un ton moins flamboyant que ce à quoi l’on pourrait s’attendre, il a le mérite d’assumer pleinement son choix : moderniser et rendre ce classique littéraire accessible à tous, notamment à ceux qui découvriraient pour la première fois le fantôme et son univers.



 

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