Arrivée en Suisse romande
Notre parcours :
C’est au cœur de la partie francophone de Suisse que nous avons poursuivi (et conclu) notre rail-trip.
En partant d’Interlaken, nous pouvions ainsi emprunter le train panoramique (le « MOB », comme l’appellent les locaux). Ce circuit faisant près de 3h, j’ai préféré le faire en deux fois pour que cela ne soit pas trop long pour ma fille, ce qui de plus, nous permettait de prendre le train « classique » pour commencer, et le train « Belle époque » le lendemain pour terminer le trajet.
Nos étapes :
Chateau d’Oex : c’est LA bonne surprise de ce rail-trip. Choisie comme étape un peu au hasard sur le trajet du train panoramique, nous y avons découvert un village au charme fou, presque sans touristes, et une vue imprenable sur les Alpes.
Montreux : la Riviera suisse nous paraissait incontournable et nous n’avons pas été déçus. Sous un doux soleil nous avons pu profiter du bord du Léman et ses nombreuses statues, se perdre dans la vieille ville voisine de Vevey, puis contourner le superbe Château de Chillon avant d’embarquer pour une croisière sur le lac.
Lausanne : notre étape finale en Suisse, et je dois l’avouer, celle qui nous a le moins plu, avant de rejoindre la rive française d’Evian (au charme insoupçonné, d’ailleurs).
Où dormir ?
L’Ermitage, à Chateau d’Oex : une maison d’hôtes très cosy, jouxtant le cœur du village. Notre chambre et son petit balcon donnait sur le spectacle des montagnes alentours, un moment suspendu.
Chez l’habitant, à Montreux : c’est la première fois que nous options pour une chambre chez l’habitant via Airbnb, mais soyons clairs, les tarifs des hébergements sur Montreux restreignaient quelque peu nos options en la matière. Bien nous a pris de nous rendre chez Maria, qui nous a fait sentir privilégié, dans son superbe appartement avec une terrasse donnant sur le lac, et probablement les meilleurs petits déjeuners que nous avons eu de tout le séjour. Un lieu (et une personne) dont nous nous souviendrons.
Bilan : nous avons adoré ces vacances, la praticité des transports ferroviaires suisses, les étapes choisies, avec un rythme qui s’adaptait bien à nos contraintes.
Un bémol ? Le budget, bien sûr. La vie sur place est très coûteuse. Nous avons pu optimiser nos dépenses en optant souvent pour des pique-niques, ou en bénéficiant de logements avec cuisine pour nous préparer nos repas (c’est surtout les restaurants qui sont chers sur place !), ce qui ne nous a pas empêché de nous faire des petits plaisirs : chocolats, glaces, et bien sûr, on ne pouvait pas partir sans tester une petite fondue…
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